Hier j’ai été bloqué par Facebook pour 24 heures. Et oui la police de la pensée unique, orweillienne certains diront, fait des ravages sur les réseaux sociaux depuis que les gafas ont décidé de lutter contre les vraies fausses fake news! Ainsi plus rapide que l’éclair, plus rapide qu’il n’en n’a jamais fallut en 20 ans de lutte contre l’antisémitisme sur les réseaux sociaux, Facebook m’a bloqué, et Youtube censuré mon live concernant entre autre la Boswellia.
A-t-on en 2021 la liberté d’expression concernant l’épidémie de covid19 ?
J’ai pu constater que les célèbres lanceurs d’alerte tels que Silvano Trotta, Spiro Skouras David Icke, Jean-Jacques Crèvecoeur et beaucoup d’autres ont été censurés par les réseaux sociaux. Pour certains leur chaîne supprimée dont des milliers de vidéos dont certaines datant de plus de dix ans. La police de la pensée montre l’exemple par la peur, tout comme ces vidéos ou l’ont voit des gilets jaunes perdre une main ou un oeil, ou plus récemment une jeune israélienne traitée comme une terroriste pour avoir enlevé quelques minutes son masque lors d’un appel téléphonique. Ou encore ce jeune homme tabassé par des policiers lors du mariage privé de sa sœur dans sa propre maison.
Oui éduquer, par la peur, telle est le but des actions de la police de la pensée unique, poussant de nombreux lanceurs d’alerte à s’auto-censurer ou à jouer avec les mots, les métaphores tel des Molières des temps modernes devant les rois Gafas. D’autres moins téméraires, auront levé le pied, de peur de perdre toutes leurs vidéos, des années de travail, de recherche, d’écriture, de tournage, de montage et de réponses aux commentaires. Car oui messieurs les journalistes être youtuber n’est pas un travail de tout repos. De nombreux lanceurs d’alerte ont vu leur rémunération soudainement supprimées lorsqu’ils abordaient certains sujets.
Mais comment être spécialisé en médecine alternative, et ne pas pouvoir donner son avis en matière de Coronavirus? Motif et raison de suppression ou bloquage: charlatanisme. Comment faire cohabiter ce qu’on a appris de nos maîtres en médecine alternative avec la politique sanitaire ? Surtout lorsqu’elles se contredisent totalement! Cette politique sanitaire décidée en cabinet restreint et dont les discussions sont censurés pour les 30 prochaines années ! Comment peut-on ne pas se poser des questions ? Pourquoi cette censure ? Que nous cache-t-on? En tant que citoyen et face à ce désastre sanitaire, ne sommes nous pas tenu de demander des comptes ?
Ainsi il est possible d’utiliser ces thérapies alternatives pour soigner toutes sortes de maux et maladies, mais c’est interdit pour le Coronavirus. Il est interdit d’en parler ou d’en faire la promotion. Pourtant au tout début de l’épidémie de Coronavirus, le docteur Zohar Yagil mon maître en Su-Jok, nous a dispensé un cours très précis sur la maladie et sur les soins d’acupuncture à apporter en cas de symptômes! Non, selon les Gafas cela n’existe pas, c’est du charlatanisme, et je ne dois pas en parler!
De plus, de nombreux médecins, se sont fait censurés, ou pire interdit d’exercice, tout simplement pour avoir proposé un traitement non reconnu par l’OMS.
Mais au fait, quel traitement reconnaît l’OMS contre le Coronavirus ?
Aucun!
Pourtant ce sont des dizaines de millions de personnes qui ont été guéris par ces médecins. Cela signifie bien que des traitements existent, non?
Comme je le disais, l’OMS ne reconnaît aucun d’entre eux, qu’ils soient issus de l’industrie pharmaceutique et encore moins naturels.
Inutile de parler ici de l’hydroxychloroquine, dont vous connaissez tous en long, large et en travers le mauvais procès qui lui est fait, (ainsi qu’au professeur Didier Raoult)
L’OMS ne reconnait pas la vitamine C en intraveineuse, pourtant utilisée avec Succès à Shanghai, en Corée du Sud et au Japon, comme le précise le docteur Richard Cheng à l’initiative de l’étude.
L’OMS ne reconnaît pas l’artemisia annua pourtant utilisée en concoction avec succès en Afrique.
L’OMS ne reconnaît pas l’huile de Nigelle (Habba Sawda) utilisée avec succès dans tout le Maghreb.
L’OMS ne reconnaît pas la Boswellia à mâcher brute (Hassaraf Halevona) utilisée avec succès dans le milieu orthodoxe (Haredi) en Israël comme le précise le docteur Rivka Shargal qui le prescrit elle-même.
Il existe sûrement d’autres traitements dont on entendra jamais parler car très vite censurés.
Les Gafas ont décidés de se ranger du côté de l’OMS, qui je le rappelle est dirigé par un ex- terroriste et financée par un Eugéniste. Quoi de plus normal que des milliards de dollars en encarts publicitaires aient été offerts par Facebook, Youtube et Google. Quoi de plus « normal? » que notre parole soit censurée?
Les Gafas, les hommes politiques, nous demandent de désapprendre tout ce qu’on a appris durant notre scolarité, et études.
Nous devons désapprendre l’esprit critique. A quoi ça sert d’avoir appris à rédiger des rédactions ? Vous vous souvenez ? Thèse antithèse synthèse ? L’antithèse n’existe pas chez les gafas.
Nous devons désapprendre nos cours de biologie sur la respiration. A quoi ça sert de tousser, d’éternuer, d’avoir de la fièvre ? Vous vous souvenez ?
Nous devons désapprendre l’esprit logique, de faire des recherches, de lire des articles scientifiques, et pour que ça soit plus simple, Google et Facebook ont modifié leurs algorithmes de recherche afin qu’on puisse difficilement les retrouver, ou tout simplement ont décidé de supprimer ces articles scientifiques publiés il y a plusieurs années. Notamment, ont été censurés, des articles scientifiques sur la non protection des masques chirurgicaux contre les virus, ou des articles concernant les implications de l’OMS et sa condamnation par de nombreux corps médicaux pour avoir exagéré la gravité de l’épidémie de grippe porcine en 2008.
Chers amis, l’Histoire nous a montré que toute dictature commence par la suppression de la liberté d’expression, par la liberté de penser. Au moyen age on brûlait les scientifiques qui osaient dire que la terre était ronde. En 1936 les nazis brûlaient tous les manuscrits et livres juifs. En 2021 on supprime des chaines, des comptes, posts et vidéos.
Les plus « dangereux » disparaissent en prison, développent des cancers foudroyants, ou sont découpés en morceaux… Dans les années 80 c’était des accidents d’hélicoptère ou de motos (cf l’affaire Balavoine et Coluche).
70 ans après le nazisme, l’Histoire n’aura rien retenu, il est du devoir des réseaux sociaux de montrer patte blanche, et de laisser tout le monde s’exprimer, il en va de la liberté d’expression et de leur propre avenir. Car déjà ce sont des milliers de lanceurs d’alerte et leur dizaines de milliers de followers qui ont migrés vers des plateformes libres, ou il est impossible de supprimer les contenus publiés, ou les recherches ne sont ni censurés ni orientés, ou la publicité n’est plus la source de rémunération, ou des crypto-monnaies sont désormais offertes par l’internaute qui en apprecie le contenu.
Octobre 2020 par Franck Sitbon.